

Lecture papier :
Londres, 1893 : une calèche explose, tuant sur le coup un notable. La police est désemparée, d’autant que le meilleur inspecteur de la ville, Henry Wilkes, a rendu son insigne. Aux prises avec ses démons intérieurs, il dépérit sous le regard inquiet de son fidèle Billy, le gamin des rues qu’il a recueilli.
Mais quand le « meurtre de la calèche » prend une autre dimension, Henry ne peut rien faire d’autre que reprendre du service. En effet, tous les indices désignent un coupable : Gareth, le propre frère d’Henry… mort des années plus tôt ! Est-ce une machination ? Ou bien son frère serait-il encore vivant ?
L’inspecteur déchu risque fort de réveiller les fantômes du passé dans cette ville où trahison et mensonges sont monnaie courante et où le danger est à chaque coin de rue…
Intrigues, menaces et complots : une enquête dans les bas-fonds du Londres victorien.
Je n’ai lu que 40 pages en deux semaines. Non pas parce qu’il n’est pas bien, mais par manque de temps surtout. J’apprécie beaucoup ce début de lecture, l’intrigue semble être bien prenante.
New York, 2018.
Assis dans une salle d’embarquement de l’aéroport de La Guardia, Tom Brady observe les autres passagers, autant d’anonymes ignorant tout de son terrible Thanksgiving 2015.
Impossible d’oublier ce fameux jeudi ! Une journée noire, agitée, tendue, qui cache d’effroyables secrets mais aussi une vérité glaçante, dérangeante, dont les racines puisent bien plus loin dans le passé…
L’histoire en elle même est pas mal. A la rigueur, on pourrait presque se laisser surprendre par l’intrigue, tout au moins au début. Mais alors le découpage, c’est juste en ce qui me concerne une grosse indigestion. Je pense que l’auteur à pêché par excès de vouloir trop bien faire. Mais d’être trimbalé d’une époque à l’autre en permanence, d’un personnage à l’autre. Me lasse plus, que s’il avait utilisé cette technique avec parcimonie. Lorsqu’elle est savamment utilisée, c’est une technique qui se transforme en page turner. Pas ici.
A trop désirer la mort, on y brûle son âme.
Paris, 1900. Prisonnier de son succès, un écrivain décide de tout quitter pour entrer au plus profond de ses cauchemars, explorer ce qu’il y a de pire en lui. Dans ce terreau de peurs se cachent les monstres enfouis en chacun de nous. Guy de Timée voulait explorer la fange, il va rencontrer le Mal.
Des cercles ésotériques de la capitale aux démesures de l’Exposition universelle, le début du XXe siècle inspire à Maxime Chattam un thriller halluciné où les progrès de la science nourrissent la folie des âmes perdues.
L’interprétation de Vincent de Boüard donne à cette plongée dans les abysses de l’âme humaine une intensité terrifiante.
Écouté les 6 premiers chapitres, mais quel plaisir de retrouver la plume de Chattam. La voix de Vincent de Boüard, va parfaitement à ce texte, qui promet d’être glauque à souhait.
- 43Partages
43
Je te souhaite une bonne semaine livresques 🙂
Merci Pommy, bonne semaine à toi ♥
Je n’ai jamais lu Chattam Mais il faudrait que je tente une jour !
Bonne semaine !
Ah je te le conseil. Je l’ai découvert grâce à sa saga jeunesse Autre Monde, dont j’ai gagné le tome 1 en version poche. Mais c’est dans les thrillers que je le préfère. Si tu aimes le genre je te conseil de commencer par la trilogie du mal. Bonne semaine, de lecture à toi 🙂
Bonne semaine de lecture !